La finance alternative continue de croître et de réduire les banques traditionnelles
Le secteur de l'immobilier est très intensif en termes de besoins de financement. Les promoteurs, les constructeurs et les entrepreneurs qui y travaillent ont constamment besoin de capitaux pour compléter les ressources propres avec lesquelles ils font face à leurs projets, que ce soit dans le domaine résidentiel, hôtelier, commercial, des bureaux, etc.
Le fait est que les banques traditionnelles ont réduit leur contribution au secteur ces dernières années, passant de 2018 avec près de 20 000 millions d'investissements à cette année, où les provisions atteignent à peine la moitié. C'est dans ce contexte que le financement alternatif par des capitaux privés fait son entrée avec une force croissante et s'avère être un acteur essentiel. Et la montée en puissance devrait se poursuivre dans les mois et les années à venir.
DEXTER a observé au cours des cinq dernières années que la tendance est clairement de compléter le financement bancaire par un financement privé, ce dernier étant principalement encadré dans les phases de démarrage des projets, avant leur consolidation. Rubén Miñarro, analyste principal des risques de la société, souligne que "qu'il s'agisse de projets BTR (build to rent) ou de projets BTS (housing to sell) conventionnels, les entrepreneurs arrivent avec un plan d'affaires et une structure financière de mieux en mieux élaborés, de plus en plus préparés. Et ils envisagent ces deux phases : une première phase dans laquelle, surtout dans le résidentiel, nous entrons très rapidement, et ensuite, une fois la première année passée, nous la remplaçons par un prêt bancaire à plus long terme", conclut M. Miñarro.
Le financement alternatif continue de croître et de réduire les banques traditionnelles
Le secteur de l'immobilier a des besoins de financement très importants. Les promoteurs, les constructeurs et les entrepreneurs qui y travaillent ont constamment besoin de capitaux pour compléter les ressources propres avec lesquelles ils font face à leurs projets, que ce soit dans les secteurs résidentiel, hôtelier, commercial ou des bureaux...
Le fait est que les banques traditionnelles ont réduit leur contribution dans le secteur ces dernières années, passant de 2018 avec près de 20 000 millions d'investissements à cette année, où les provisions atteignent à peine la moitié. C'est dans ce scénario que le financement alternatif avec le private equity entre en force et s'avère être un acteur essentiel. Et cette montée en puissance devrait se poursuivre dans les mois et les années à venir.
DEXTER observe depuis cinq ans que la tendance est clairement de compléter le financement bancaire par un financement privé, ce dernier étant principalement encadré dans les phases de démarrage des projets, avant leur consolidation. Rubén Miñarro, analyste principal des risques de la société, souligne que "qu'il s'agisse de projets BTR (build to rent) ou de projets BTS (housing to sell) conventionnels, les entrepreneurs arrivent chaque jour avec un plan d'affaires et une structure financière de mieux en mieux élaborés, de plus en plus bien ficelés. Et ils envisagent ces deux phases : une première où, surtout dans le résidentiel, on entre très vite, et puis, une fois passée la première année, la substitution au crédit bancaire à plus long terme", conclut M. Miñarro.